Mélusine et Scar

Messages : 4 Localisation : Genève

Mélusine ne savait pas lire mais fort heureusement elle avait été doté d'un don spécial, celui du dessin. Avec ce don, elle avait pu aisément reconnaître d'après les lignes le lieu ou ils devaient se rendre.
Scar avait fait le reste, c'est à dire lire et décider, puisqu'il se faisait ch--r, comme il le disait souvent, ils avaient pris la route dimanche après la messe.
Mélusine lui avait demandé juste avant, d'aller avec elle à la messe du père Stanislas, elle n'avait pas compris le principe mais il devait y avoir partage de pain et aussi du vin, ce qui devrait intéresser les deux acolytes à leurs façons.
Mélusine espérait que Scar n'avait pas oublié son autre promesse, aujourd'hui ils devaient aussi aller cueillir les edelweiss.
Après tout c'était pour ça qu'elle était allé à Genève.

J'a pense que ça est là. Mélusine s'adressait à son compagnon.

Bonjour ! A qui voudrait l'entendre.

J'a m'appelle Mélusine et lui c'est. Mélusine se souvient juste à temps qu'il n'aime pas dire son nom.

Mon ami.

Invité

Maodun, assis tranquillement, mangeait un bout de pain. Il faisait beau, son pain était bon : que de bonheur ! De plus, l'heure de la sieste approchait : une petite sieste au soleil, que demande le peuple ?

Bonjour
J'a m'appelle Mélusine et lui c'est.
Scar

Dundun ouvrit de grand yeux en regardant devant lui :

Et alors ? Qu'est-ce-que tu veux que ça me fasse ?

Un sourcil arqué, le brigand recommença à manger son quignon, en regardant les inconnus.

Messages : 5

Quelle idée de faire du recrutement par courrier, ils sont parfois bizarre les brigands. Genre "c'est porte-ouverte aujourd'hui, venez visiter notre camps, découvrez nos occupations journalières, inscrivez-vous en remplissant notre formulaire."
Mais bon, s'ils promettaient un peu de tunes et de la baston, ça m'allait en attendant de mettre en place mon dessein.

Accompagné de la brune, après une bonne sieste pendant la messe, je me rendais à destination, en suivant le tracé de la carte, la croix rouge indiquant l'emplacement exact du camps, jusqu'à tomber sur un homme en plein pique-nique. J'avais même cru entendre mon nom, mais j'avais du rêver.

Et alors ? Qu'est-ce-que tu veux que ça me fasse ?

Mes océans fixèrent la sentinelle après nous avoir rembarrés. Autant le dire, il me mettait de bonne humeur lui.

- Si tu ne veux pas que je t'enfonce le reste de ton pain dans ta grande gueule, jusqu'à ce que tu t’étouffes avec, tu vas nous conduire au dénommé Arkhor comme le bon larbin que tu es.

Messages : 147 Localisation : dans un buisson

Goliath, passablement énervé par la grande porte qui arrête pas de faire du boucan, alla se calmer dehors à l’extérieur avec une bonne bouteille et deux gobelets, se disant qu'il avait était un peu sec avec Dindin un peu avant, qu'un godet ferais passer l'orage.

Approchant vers lui, il vis d'autre personnes, et perçu un peu leurs conversation.

" - Si tu ne veux pas que je t'enfonce le reste de ton pain dans ta grande gueule, jusqu'à ce que tu t’étouffes avec, tu vas nous conduire au dénommé Arkhor comme le bon larbin que tu es. "

Le sang de Gogo ne fis qu'un tour, il posa la bouteille et les gobelet sur une pierre plate, et saisie le manche de sa hache à double tranchant, et s'approcha du groupe.

HUM...HUM!!!

Il regarda la personne qui proférait des menaces et lui repondis:

Salut, dis moi, c'est recent ou t'es con de naissance??? car à mon avis tu t'es gourer d'adresse la.
T'arrive , tu prend les gens de haut, tu insulte celui qui sera certainement ton futur responsable, enfin si tu reussi à entrer en vie , car la j'ai un doute.

Sinon, ton Arkhor je le connais pas, et je crois pas qu'on est qui que ce sois de ce nom la ici. Par contre insulte encore une fois un de mes camarades, montre toi encore une fois impoli, manque encore une fois de respect a quiconque ici, et crois moi tu feras connaissance avec chaque personne présente dans ce lieu de la pire manière que tu puisse imaginer!!!!

Messages : 5

Alors que je dévisageais celui qui se trouvait en face de moi, un autre homme fit son apparition, peut-être celui qui venait partager le pique-nique en amoureux. Mes yeux se braquèrent sur l'arme qu'il tenait en main, un large sourire malsain se dessina sur mes lippes alors que de ma main gantée de cuir, j'ôta à mon tour la manche de ma hache de ma ceinture.

- Laisse moi deviner, on dérange votre dîner en chandelle et t'es pas content ? Vous voulez un peu d'intimité peut-être ?

Mon sourire s'effaça rapidement pour reprendre une conversation plus sérieuse.

- Je n'aime pas perdre mon temps, et le simple fait que tu parles de ce mec comme futur responsable démontre qu'on est à la bonne adresse. Je ne suis ni gentil, ni respectueux, et ce n'est pas avec ta tirade de castafiore que tu vas m'intimider. Je parle comme je veux, je prends de haut qui je veux, j'insulte qui je veux. Si vous cherchez des hommes courtois, allez recruter chez les péteux nobliaux. Si vous voulez des bras fidèle pour se battre à vos côtés, vous les avez devant vous.

Je passa ma langue sur l'acier froid de ma hache avant de rajouter.

- Maintenant, si ça ne te vas pas, on peut la jouer à celui qui a la plus grosse.

Invité

Dundun se grattait le nez en souriant bêtement.

C'est fou gogo ? Doit y avoir des promotions ces jours-ci ! Par contre faudra vraiment penser à insonoriser les salles là-haut ... Avec le boucan à la porte, on peut pas faire la sieste !

Maodun vit l'inconnu montrer sa hache : quel fou !

Halte là ! Personne ne rentre ici avec une hache ! En fait, pour avoir le droit de se promener avec une hache, il faut un permis, délivré par moi-même, au nom des arbres et des plantes vertes !
Et Arkhor est d'accord là-dessus, fais moi confiance mon p'tit pote !

Dundun sourit bêtement au couple fraîchement arrivé :

En tout cas, doit y avoir un problème ... Arkhor ... Ben il est ... Sympa ! Beau, et même intelligent !
Tout votre contraire quoi ... Du coup j'vous crois pas, c'est pas lui qui vous ammène, vous mentez !

Le brigand écologiste recommença à mordre dans son morceau de pain.

Hum ... C'est une coutume de chez toi de lécher les outils ? Nan parce que c'est dégueulasse ma parole !

Messages : 5

Couper des arbres et des plantes ? C'est qu'il me prenait pour un bûcheron en plus ?

Ma hache sert plutôt à démembrer des gus qu'à tailler de la pipe en fait. Mais si ton pote qui semble manquer d'affection veut bien ranger son arme, j'en ferais autant.

En attendant, je tenais bien fermement le manche.

- On n'est pas là pour parler de tes sentiments et de ton coup de foudre pour Arkhor, tant mieux pour toi si tu le trouves beau et intelligent, on est là pour répondre à sa lettre de recrutement et devenir vos..."compagnons". Enfin, pour ma part, je veux surtout du fric et de la baston. Et elle... en regardant Mélusine, se remplir la panse.

- Quant à lécher mon arme... J'aurai bien lécher la brune derrière moi, mais ce n'est pas l'endroit. On fait avec les moyens du bord tu vois.

Invité

Dundun hocha la tête.

Mais oui mon brave, je te comprends !
En attendant, arrête de lécher ta hache, c'est pas propre, et c'est malpoli !

L'écologiste se racla la gorge :

Pour ce qui est de nous rejoindre, oui ! Mais ... A quel prix !
Parce qu'on fait pas cantine publique nous ! Donc si machine a faim, bah machine se débrouille !

Enfin bon ... On a qu'à attendre que l'autre arrive hein, si c'est lui qui va a contacté, c'est aussi simple non ?

Dundun croisa les bras.

Et sinon, ça gaze ? Vous avez eu beau temps sur la route ? Pas trop de monde ? Des fois le week-end c'est bouché, ça circule mal ...

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Un peu en retard mais Dark arriva à l'entrée. Une petit attroupement y était présent. Il reconnu Gogo et M'sieu Dundun et deux nouveaux visages qui devaient être ceux qu'on lui a annoncé.

Bonjour à vous deux! La bien venue!

Il salua également ses Compagnons présents.
Puis, une pensée vint le troubler... Il se tourna vers Maodun...

Ca va...? ....Tu les as bien accueillis?..

Le regard de Darkhan était plutôt inquiet en cet instant ^^.

Messages : 4 Localisation : Genève

Mélusine toujours très (trop) premier degré avança dans son plus beau regard, de poisson frit.

Mélusine ! Mélusine regardait celui qui avait écorché son nom, entre là et vendredi soir en taverne, Mélusine se demandait s'il n'y avait pas un problème avec.

Pas Machine.

Un autre homme arriva et les océans de la brune se posèrent sur lui.

Bonjour ! De haut en bas Mélusine détailla l'intéressé, s'il pouvait éviter de faire comme les autres dont elle n'espèrait pas devoir comparer la taille de leurs armes et lui aussi parler comme si elle n'existait pas, ça serait pas mal.

J'a m'appelle Mélusine ! Mé-lu-sine ! Disant cette sempiternelle phrase, Elle jeta un œil quelque peu changé sur celui qui les avait questionné en tout premier.

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Prononcant cette phrase;

Citation :: J'a m'appelle Mélusine ! Mé-lu-sine !

Et suivant la trajectoire du regard de la damoiselle, Darkhan comprit vite que Dundun était visé.

Il avait le regard amusé se doutant de ce qui avait pu se passer en son absence.

Mélusine, ca me vas très bien et je n'en doute pas!

Et toi l'ami, quel est ton nom?

Dit-il en s'adressant à l'acolyte de Mélusine.

A moins que tu ne fasses les présentations cher Dundun?

Invité

Mâchouillant son morceau de pain, décidément, il était vachement bon ! Et grand en plus, car il lui en restait encore ! Enfin bon, c'était d'un oeil vide de toute expression qu'il avait regardé Darkhan arriver, et Machine parler de son prénom :

Mouais, mouais, ch'tu veux Machine !

Le brigand déglutit, regardant Darkhan :

Pour faire court : elle c'est Machine, elle a la dalle et veut entrer pour bouffer. L'autre, je sais pas son nom, mais il lèche sa hache, ce qui est franchement dégueulasse. Il me semble qu'il veut venir par appât du gain, sûrement quelqu'un qu'on peut soudoyer donc.

Un beau sourire, fier d'avoir transmis les informations importantes :

Ah et puis Gogo ... Bah Gogo quoi, tu connais l'oiseau !

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Et sinon, ça gaze ? Vous avez eu beau temps sur la route ? Pas trop de monde ? Des fois le week-end c'est bouché, ça circule mal ...

C'est parti pour la popote.

- On est en hiver, on a donc un temps de merde. J'ai failli avoir un accident à cause de la neige en me prenant un caillou à la con, heureusement, ma botte n'a pas crevé, car j'en ai pas de rechange. Sinon pas de bouchon, sauf celui de la teille que j'ai débouché en chemin.

Le temps de faire la causette, un autre se joignit à nous. Youhou, les 2be3 sont réunis.

- Bonjour. Je m'appelle Scar.

C'est le moment où normalement, comme dans toutes réunions des alcooliques anonymes, ils sont censés répété mon nom.

- Je me fais chier dans la vie et je veux m'en mettre plein les poches tout en collant quelques tartes dans la gueule.

Et là, normalement, comme dans toutes réunions anonymes, ils sont censés m'applaudir.

- Et elle, c'est ma.... meuf.

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Et il ne pu s'empêcher d'éclater de rire à l'écoute du résumé de son ami.
D'accord, bon, ça aurait pu être pire se dit-il ^^
Il écouta les motivations de Scar

Parfait, voici un;

Formulaire:

Je n'ai qu'un formulaire pour vous deux car quelqu'un à mangé tous les autres pendant la nuit...
Il avait sa petite idée...
Si vous avec quelconques questions, demandez-moi ou vous pouvez toujours les posées à Gogo et Mao"Tse Tung",il éternua, "dun", Moadun Smile

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Je réceptionna le formulaire d'inscription, un seul pour deux disait-il. De toute manière, l'autre ne savait ni lire, ni écrire. Qui sait qui va se coltiner la paperasse encore ? C'est bibi bien sûr.

En attendant de jouer de la plume.

- Ouai j'ai une question. On va rester ici encore longtemps ou il y a moyen de rentrer se boire une choppe ? Parce qu'il fera nuit tôt ou tard, que je ne sens plus le bout de mes doigts de pieds, et que j'aimerai éviter d'avoir les poils de mes bourses en forme de stalactites.

Messages : 4 Localisation : Genève

Et j'a veux bien manger un bout aussi.

Mélusine se fichait pas mal du papier, Scar savait ce qu'il en était de ses connaissances. On ne pouvait pas vraiment dire qu'elle avait reçu une éducation. Mélusine avait beaucoup appris sous les coups, de son père, puis de ceux dont elle s'approchait trop près des maisons. Jamais Mélusine n'avait appris à lire et à écrire et les petites astuces que Mélusine connaissait, c'était la vie qui s'était chargé de les lui apprendre.

J'a un peu de jambon à partager, mais j'a pas de pain.

Scar avait parlé de pique-nique et c'est bien connu que ce sont les gens qui ont le moins, qui donne le plus. A part Scar ceci dit.