Un géant s'approche

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Un homme grand de deux mètre approche d'un vieux fort, la jeune femme qui l'accompagne était d'une beauté à en faire rougir les Dieux

-Brandychouuu attend moi, je ne te comprend pas là, pourquoi répondre a cette lettre, tu ne sais même rien d'eux!
-Tais toi et suis moi, c'est homme n'ont rien, ils ne seront sans doute pas engraisser par un milieux aisé, la famille est la pire des propagande. Si je peux changer le monde, ça ne sera pas seul, et j'espére m'approcher de mon rêve par ces hommes, tu sais cette lettre, elle me rappelle moi en étant jeune.. avant d'être chatier des miens pour mes opinions
-Brandychou t'énerve pas!! Je te suis ou tu ira, un peux comme cette homme là-haut!! hihihi!! Vous êtes l'expéditeur qui a exciter mon homme?

Tout leur dire était entendu... L'homme de deux mètre leva la tête, sourit et demanda :

-Bonsoir, cette femme me suis partout n'y prêter pas attention, je viens vous écouter, et selon, je reste ou je part sans faire d'histoire. Tout dépend de vos paroles. Donner moi le nom que vous voudrez, les noms ne sont que des désignations, rien de concret surtout pour un athée comme moi.

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Rayser venait d'être prévenu par le compagnon d'Azi que celle ci ne pourrait assurer l’accueil quelques temps. Il se rendit donc pour cette fois accueillir le nouveau venu dès qu'on l'eut averti de son arrivée de par un garde perché au dessus du Géant.
Le nez encore collé à un parchemin, il le salua.

Bonsoir messire, je vous souhaite la bienvenue dans.......

Quand il le vit posé en face de lui, il leva la tête..... bigre, qu'il était grand.....

Euh.... dans nos quartiers. A ce qu'on m'a dit, vous désirez nous rejoindre, c'est bien ça ? Pour ce faire, voici un parchemin à remplir et à me remettre en mains propres (MP)

Spoiler:

Il sourit et le lui tendit, sans remarquer que derrière lui se cachait une jeune femme.

Pour tout autre chose, je suis à votre écoute.

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-Allez remplie ce formulaire pour moi, veux-tu?
-Ouii Brandychou, avec plaisir.

La femme sortie une plume et un encrier de sa ceinture, remplit le formulaire et le remis au Géant.

-Bien, retourne en chaumière, occupe toi de mes affaires courante.
-Vous quittez m'est d'une souffrance immense..
-Bon, nous allons donc faire affaire ?

D'un mouvement brusque le géant tendant sa main vers Rayser.

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Rayser prit le parchemin et le lut attentivement. Il le plaça dans une poche de son mantel puis répondit au Géant :

Je vous remercie Sire, voici les premières clefs de nos quartiers, une fois que vous nous aurez rejoint, je vous donnerai le reste des accès. Je vous souhaite la bienvenue au sein de notre groupe.

Il les lui tendit.

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Je ferais le nécessaire, merci.
L'homme s'en retourna d'où il était venue.

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Un Individu trainait dans le coin. C'est pour cette raison qu'il vit la scène se dérouler, et l'homme s'en aller alors qu'il possédait les premières clés.

Quelques pas correctement mesurés, et il se pencha vers l'oreille de Rayser.

Dis. Faudrait pas qu'il aille en ville, donner ses accès au premier péquin qui passe et se ferait passer pour lui.

Puis, sur un ton sensiblement plus élevé.

Bizarre quand même. Pourquoi donc est-il parti ?

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Rayser, tout en regardant le Géant s'éloigner répondit à l'Individu.

Rassure toi, ces clefs, il pourrait les donner à n'importe qui que ça ne serait pas si grave. Rien d'important ne filtre de la taverne et de la cour extérieure. Comme chaque compagnon avant lui, il aura le trousseau le plus important quand nous le verrons physiquement dans la même ville que nous. Il est sans doute reparti pour préparer son baluchon.

Il attendit un moment, puis reprit

Je ne pense pas qu'on ne puisse pas lui faire confiance. Après tout, des taupes et des intrus, nous en avons déjà renvoyé plusieurs dans le passé..... Chacun sait désormais quel sort nous leur réservons.

Il sourit en coin.

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Cinq secondes de réflexion plus tard, Un Individu commente.

Hm je vois. Je te fais confiance. Et puis, s'il s'agit d'une taupe, comme j'étais dans les environs, je serais obligé de lui arracher la langue, de lui crever les yeux, lui enfoncer une lame d'épée dans le cœur, et ce genre de douces attentions, tu vois ? Non décidément, je préfère te faire confiance.

Un mince sourire sadique illumina durant quelques courts instants son visage.